Des mesures à l’encontre de la cigarette électronique


L’utilisation de la cigarette électronique a toujours crée des divergences auprès de la population. C’est pour cette raison que des études ont été menées afin de déterminer le caractère nocif ou non de la cigarette électronique. Ceci étant, dans le but de permettre ou non l’utilisation de la e-cigarette par la population. car il était de plus en plus évident pour une certaine catégorie de personnes que le fait de vapoter une cigarette électronique pourrait inexorablement mener les jeunes vers le tabagisme.
Les mesures qui ont été prises concernant la cigarette électronique
De nombreux spécialistes ont été saisis pour mener des études sur la cigarette électronique. Le résultat de cette expertise devrait déterminer du sort de la cigarette électronique. Ainsi , au mois de mars de cette année 2013, la Direction Générale de la Santé (DGS) a réuni les experts dirigés par le Professeur Dautzenberg afin d’étudier toutes les caractéristiques de la cigarette électronique et de prendre des mesures en conséquence. Il en découla qu’il n’est pas nécessaire d’interdire aux gens de fumer une cigarette électronique. Cependant, il est de rigueur de  réglementer la vente et consommation de cigarette électronique. Il par exemple été décidé que les mineurs n’auront pas le droit d’acheter une cigarette électronique auprès des boutiques qui en revendent. Une cigarette électronique est donc traitée au même titre qu’une cigarette classique, provoquant ainsi le bannissement de ladite cigarette de tout espace public réservé aux non-fumeurs.
Sachant qu’un bon nombre de personnes a commencé à fumer une première cigarette pour imiter les grandes personnes, ou pour paraître plus cool ; la cigarette électronique peut être perçue comme une incitation à essayer le vapotage, étant donné que l’on ne peut faire visuellement pas de différence entre une cigarette électronique contenant une dose de nicotine et une autre qui n’en contient pas.
Le vapotage, première étape vers une dépendance ?
Plus d’un demi-million de personnes utilisent une cigarette électronique en France. Ce chiffre qui ne cesse d’augmenter représente u gain considérable en termes de chiffre d’affaires pour les sociétés qui les fabriquent. Le nombre de fumeurs qui choisissent de vapoter une cigarette électronique pour avoir une dose de nicotine moins élevée que la cigarette classique ne fait qu’augmenter. Il a été aussi prouvé que vapoter une cigarette électronique est une meilleure solution pour les grands consommateurs de cigarettes.
Bien que des recommandations ont été prononcés en défaveur de la cigarette électronique, Jean-François Etter, l’un des experts qui ont été saisis pour évaluer les risques de la cigarette électronique, affirme que ces mesures prises sont exagérées.
Il faut avouer que les décisions prises à l’encontre de la cigarette électronique fait le bonheur des buralistes, qui estiment que le gouvernement doit raffermir les recommandations sur celle-ci et donner aux buraliste la vente exclusive de la cigarette électronique.

L’utilisation de la cigarette électronique a toujours crée des divergences auprès de la population. C’est pour cette raison que des études ont été menées afin de déterminer le caractère nocif ou non de la cigarette électronique. Ceci étant, dans le but de permettre ou non l’utilisation de la e-cigarette par la population. car il était de plus en plus évident pour une certaine catégorie de personnes que le fait de vapoter une cigarette électronique pourrait inexorablement mener les jeunes vers le tabagisme.

Les mesures qui ont été prises concernant la cigarette électronique

De nombreux spécialistes ont été saisis pour mener des études sur la cigarette électronique. Le résultat de cette expertise devrait déterminer du sort de la cigarette électronique. Ainsi , au mois de mars de cette année 2013, la Direction Générale de la Santé (DGS) a réuni les experts dirigés par le Professeur Dautzenberg afin d’étudier toutes les caractéristiques de la cigarette électronique et de prendre des mesures en conséquence. Il en découla qu’il n’est pas nécessaire d’interdire aux gens de fumer une cigarette électronique. Cependant, il est de rigueur de  réglementer la vente et consommation de cigarette électronique. Il par exemple été décidé que les mineurs n’auront pas le droit d’acheter une cigarette électronique auprès des boutiques qui en revendent. Une cigarette électronique est donc traitée au même titre qu’une cigarette classique, provoquant ainsi le bannissement de ladite cigarette de tout espace public réservé aux non-fumeurs.

Sachant qu’un bon nombre de personnes a commencé à fumer une première cigarette pour imiter les grandes personnes, ou pour paraître plus cool ; la cigarette électronique peut être perçue comme une incitation à essayer le vapotage, étant donné que l’on ne peut faire visuellement pas de différence entre une cigarette électronique contenant une dose de nicotine et une autre qui n’en contient pas.

Le vapotage, première étape vers une dépendance ?

Plus d’un demi-million de personnes utilisent une cigarette électronique en France. Ce chiffre qui ne cesse d’augmenter représente u gain considérable en termes de chiffre d’affaires pour les sociétés qui les fabriquent. Le nombre de fumeurs qui choisissent de vapoter une cigarette électronique pour avoir une dose de nicotine moins élevée que la cigarette classique ne fait qu’augmenter. Il a été aussi prouvé que vapoter une cigarette électronique est une meilleure solution pour les grands consommateurs de cigarettes. Bien que des recommandations ont été prononcés en défaveur de la cigarette électronique, Jean-François Etter, l’un des experts qui ont été saisis pour évaluer les risques de la cigarette électronique, affirme que ces mesures prises sont exagérées.  Il faut avouer que les décisions prises à l’encontre de la cigarette électronique fait le bonheur des buralistes, qui estiment que le gouvernement doit raffermir les recommandations sur celle-ci et donner aux buraliste la vente exclusive de la cigarette électronique.