Le nouveau site où trouver l’aide dont on a besoin !


Relationdaidemontreal.com est le nouveau site web dédié à la relation d’aide. Ce site présente clairement les services de Carolyne Jannard TRA(MD) – Thérapeute en relation d’aide. Son bureau est situé à deux pas du métro Jarry, et à cinq minutes de l’autoroute Métropolitaine, au coeur de l’île de Montréal.

Nous vivons tous des périodes et des situations de vie difficiles et quand ça va mal, beaucoup d’entre nous avons tendance à nous refermer sur nous-même plutôt que de demander de l’aide. Nous attendons souvent trop longtemps avant de nous prendre en main. Notre société nous a appris qu’il fallait être autonome et ne déranger personne.

Une chose est certaine, même si l’isolement nous semble naturel quand on ne file pas, il faut savoir que cet isolement ne nous aide pas. Par contre, être écouté, accueilli et entendu dans ce qu’on vit peut avoir des impacts transformateurs. Relationdaidemontreal.com vous invite à vivre les aspects souffrants et difficiles de votre existence en relation au lieu de les vivre dans l’isolement.

Si on souffre d’un mal de vivre qui nous semble, somme toute, assez banal, pourquoi déciderions-nous de nous en occuper et de voir un thérapeute ?

On le fait pour les mêmes raisons qui nous amènent à aller chez le dentiste si on a un mal de dent ! J’ai mal à une dent, je vois le dentiste. J’ai mal au ventre, je vois un gastro antérologue, ma vue baisse, je vois l’opticien…, etc.

Mais si mon estime de moi est mal en point, si je vis de la peur avant de faire une présentation au bureau, si mes relations intimes avec mon conjoint ou mes enfants sont insatisfaisantes, je n’en fais rien ! Ou encore j’en parle à un bon ami et j’endure tant bien que mal cet état psychique qui me tombe dessus, comme un mauvais sort du destin; je reste victime de mon état, paralysé. Il est même possible que l’idée de m’en occuper ne m’effleure pas l’esprit.

Mais pourquoi sommes-nous tellement paralysés quand il s’agit de s’occuper de notre propre bien-être ?

Même si les temps ont beaucoup changés, consulter demeure pour plusieurs, encore tabou: « Je ne suis pas fou ! Je fonctionne très bien ! Ce n’est pas pour moi ! Qu’est-ce qu’ils vont penser de moi ?… »,  et toute une litanie d’excuses s’enchaînent sans trop se renouveler.

Ce qui sous-tend ce discours justificatif, c’est une peur profonde de l’inconnu, la peur de souffrir (encore plus), de sortir de notre zone de confort; et ce, même si ce confort est en vérité, très inconfortable.

« Pourquoi est-ce que j’irais ressasser tout ça ? »

On « ressasse tout ça » pour y mettre de la lumière; pour démystifier ce qu’on porte en nous; pour mieux se connaitre et du coup, mieux répondre à nos besoins. Enfin, simplement pour vraiment prendre soin de nous-mêmes.

Comment parvenir à bien aimer quelqu’un qu’on connait mal ? Imaginons chercher à faire un cadeau à un ami qu’on connait peu: c’est beaucoup plus ardu que d’offrir un cadeau à quelqu’un qu’on connait bien. C’est la même chose pour nous-mêmes. On peut être tellement coupé de soi, tentant de ne pas ressentir les années de souffrances affectives accumulées, que nous ne ressentons même plus nos propres besoins, ici, maintenant. Simplement le fait de savoir ce qui nous ferait du bien, là, tout de suite. N’y ayant plus accès, on se replie sur ce dont nous bombardent les publicités, essayant tant bien que mal de combler des besoins dont nous ne soupçonnons plus l’existence, tant nous nous sommes gelés le cœur à force de résister aux souffrances latentes que nous portons.

Et on est là à tergiverser en se demandant si on devrait ou non consulter ! Je dirais que de se poser la question, c’est y répondre;  que oui,  ce serait une bonne idée de consulter. Cette vie passe si vite ! Allons-nous la vivoter ou la vivre ? Oui on a peur. D’accord. Mais ce n’est pas une raison suffisante pour continuer de souffrir seuls. Revenons à mon exemple du mal de dent: « Oh non, je n’ai pas besoin de voir le dentiste, ça va passer ! » Hum…

Considérons-nous chanceux de vivre dans une société inclusive du processus de connaissance de soi et de la relation d’aide. Dans certains pays du monde, ce serait impossible de simplement y penser, ce ne serait même pas une option !

Encore une fois il faut se poser la question: « Qui en moi, gère les opérations ? Est-ce la peur ? » Si nous répondons oui, alors on peut déjà accueillir le fait que cette peur est forte et qu’elle règne sur nos vies plus que nous n’en n’avons conscience.

Il est certain qu’une approche thérapeutique ou une autre ne peut pas convenir à tout le monde; par contre,  le fait de porter un regard bienveillant sur nous-même, ça, ça nous convient à tous.

Au delà de la variété d’approches et d’intervenants disponibles,  je souhaiterais qu’on s’offre des vies plus conscientes, bienveillantes et en accord avec nos natures distinctes.  C’est l’accueil de la variété et des différences qui nous composent qui constitue la beauté de l’humanité.

N’hésitez pas à contacter Carolyne Jannard à relationdaidemontreal.com ou par téléphone au 514-334-3721