Profile pr et W&CIE


A l’occasion du lancement de leur nouvelle offre de communication de crise centrée sur “La 1ère heure“, W&Cie et Profile PR vous livrent les résultats de leur étude menée par le CSA
Pas de dialogue, pas de rencontre avec les medias lors du démarrage d’une crise !

Pas de disponibilité ! Pas de confiance ! Pas de contenu !
Cette étude, menée conjointement par les 2 agences de communication, combat quelques idées reçues en matière de
communication de crise et renforce des convictions.
Une préparation suffisante ?
Les entreprises sont théoriquement bien préparées à la gestion de leur communication de crise. Cela fait 20 ans qu’on en parle … Or les médias perçoivent très sévèrement un manque de préparation des chefs d’entreprises eux-mêmes, ceux dont la parole engage…
> Pour 85 % des journalistes, les chefs d’entreprises sont mal préparés à la gestion de la relation avec les médias.
> Pour 95 % des journalistes, les chefs d’entreprises ne font plutôt pas confiance aux médias.
> 55 % font confiance aux PDG.
> 60 % n’ont pas confiance dans les DRH.
> 80 % n’ont pas confiance dans les Responsables de communication.

A l’occasion du lancement de leur nouvelle offre de communication de crise centrée sur “La 1ère heure“,
W&Cie et Profile PR vous livrent les résultats de leur étude menée par le CSA

COMMUNIPRES Une incompréhension volontaire ? ……

80 % trouvent l’information fournie utile, mais seulement 50 % la trouvent claire, 55 % crédible, 90 % insuffisante et 95 % sans aucune transparence !
Les chefs d’entreprises imaginent que les médias adorent la crise, tout ce qui ne va pas et ne cherchent pas les solutions. Ils pensent également que les journalistes ne veulent pas comprendre les réalités de l’entreprise.
Or cette étude montre que les journalistes sont plutôt dans un principe de responsabilité et expriment une volonté forte de compréhension. Ils veulent connaître l’état réel des situations qu’ils rencontrent et ont donc besoin des informations de l’entreprise.
L’enjeu est maintenant de lever les malentendus et de restaurer la confiance.
Tout est réuni aujourd’hui pour installer une relation basée sur plus de sens et plus de présence dès le début de la crise.