AIU : le combat pour l’éducation


A travers le monde, des centaines d’établissements français de l’Alliance israélite universelle ont formé des générations de juifs. Parmi les stars, Gad Elmaleh se souvient de son école au Canada ; Ariel Wizman, de son lycée, à Auteuil, dirigé par Levinas.
Depuis le 8 septembre 2010 et jusqu’au 16 octobre 2010, la mairie de Paris fête les 150 ans de cette institution par une exposition, organisée par Marc Eisenberg, Vice-président de l’Alliance.
Education des enfants de la diaspora, école pour malentendants juifs et palestiniens en Israël. On croise les trois piliers Adolphe Crémieux, Narcisse Leven et le Nobel de la paix René Cassin. Plus proches, Stella Baruk, l’oulipien Marcel Bénabou et le photographe Elias Harrus, à qui l’on doit un fascinant témoignage du Maroc rural d’antan, visages berbères figés en des temps immémoriaux.
Malraux énonçait en 1960  » Pour sauver les plus démunis parmi eux, les juifs se sont battus non pas par l’épée mais par le livre « . L’éducation, le plus beau combat qui soit.
L’exposition se compose de plus de 50 panneaux retraçant 150 ans d’histoire de l’Alliance à travers cinq grands espaces :
•    La fondation de l’Alliance
•    Les principes éducatifs de l’Alliance
•    Les écoles de l’Alliance à travers les continents
•    L’Alliance des années 1930 à nos jours
•    Portraits de grands serviteurs de l’Alliance

  • Est proposé par Anna Dupy |
  • Le 19 octobre 2010 |
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