La santé sexuelle et les relations à risques


Chaque année de nouvelles campagnes de prévention rappellent l’intérêt d’une sexualité contrôlée et de se protéger à chaque rapport sexuels avec ou sans pénétration contres les IST, l’herpès mais aussi le SIDA. D’autres maladies peuvent survenir sans pour autant avoir de rapports sexuels comme la mycose vaginale qui, sans pour autant être très dangereuse peut être très inconfortable. Et quand ces maladies apparaissent, il faut savoir trouver les traitements de l’IST, ou plutôt un traitement de la mycose voire pourquoi pas plusieurs autres traitements contre l’herpès et cela peut devenir un vrai casse tête.

Les traitements des IST peuvent parfois être une galère sans nom, car il faut d’abord se faire tester ou consulter un médecin pour identifier son infection alors que de nombreux le font directement depuis Wikipedia ou Google images afin de trouver les traitements de l’IST ou les traitements de l’herpès le plus adaptés. Quand à la mycose vaginale, il est parfois impossible de savoir que l’on a besoin d’un traitement de la mycose car seul un frottis régulier chez sa gynécologue peut vous diagnostiquer l’infection. Bien que les IST, l’herpès et la mycose vaginale soient des maladies qui se soignent simplement, elles peuvent avoir un réel impact sur votre santé si non traitées. Les symptômes ne peuvent jamais apparaitre et penser aux traitements des IST, à des traitements de l’herpès ou encore un autre traitement de la mycose vaginale devient donc impossible. Il faut évidemment se faire tester régulièrement ou avoir les symptômes de ces maladies pour savoir quoi faire.

Les traitements des IST sont quasiment tous sur ordonnance et mieux vaut le conseil d’un médecin pour cela. Tout comme les traitements de l’herpès, quoi que vu qu’il s’agisse d’une infection à vie, le même traitement sera à renouveler tout au long de sa vie pour calmer les symptômes. Pour la mycose vaginale, les frottis seront nécessaires pour savoir le traitement de la mycose qu’il vous faudra

Merci à Anna du site Healthexpress.