La venue de la tempête tropicale Giovanna coule l’économie de madagascar.


« 

Madagascar, un région chaud, sa propre météo

Madagascar, une île du continent africain, supportait des modifications de la météorologie. Bien que, la météorologie en partie restait plus ou moins assidue pour certain circonstance, c’est-à-dire, du mois de Juin en Septembre ou moitié Octobre, c’est l’hiver, et à la deuxième moitié du mois d’Octobre, le emps commence à accroître, et les averses forment ses approches.
Au bout de quelques automnes, elle n’accompagne plus cette règle générale, car, il est arrivé que la population a subit le froid de la météo durant des mois et des mois, alors, si l’été arrive, l’atmosphère a changé radicalement du aux incendies de savanne partout, et le peuple prévoyait avec contrariété le commencement de la pluie.

Giovanna arrive et ravage totalement tout sur son passage

A la demi du mois de Février, le peuple de Madagascar, surtoutles jeunes, a fait avers au plus grand des tempêtes, depuis l’arrivée de Géralda dans les années 2000, Giovanna n’a pas épargné l’île, avec une hâte de 365km/h et 500km de rayon en gagnant la côte Est, dévasté la bourgade de Brickaville et celle de Moramanga et laissant derrière des habitations sans tôles, des milliers de sinistrés. En s’approchant des régions du centre, le 14 février 2012 , jour du saint valentin, son tempo s’affaiblit peu à peu à 265km/h, heureusement, grâce aux montagnes du flanc de Mandraka, cependant à une telle vitesse , son trouée n’a pas empêché de dévaster le métropole, l’eau s’élevait dans les rues et évolue dangereusement comme celui de la municipalité d’Ambohimangakely, un pont qui joint le métropole d’Antananarivo du montée Est de Madagascar n’est plus en parfaite condition, et les voitures nécessitent de réaliser un long ondulation pour aboutir le By pass, une issue qui joint illico la Route Nationale RN7 qui achemine vers l’extrême sud à la Route Nationale RN2 qui circule vers l’Est.
Vu ces bouleversements suscités par cette tempête tropicale, Madagascar ne sait pas se passer et démentir le la modification de la météo. En tant que zone tropicale, l’île recueille, tout de même, une bonne quantité de pluie suffisante, ou même un surcroît de pluie pour gorger d’eau les rizières et les torrents. Reste à prévoir que la météorologie régulière ne constitue pas une occasion foncière pour faiblir encore l’économie du territoire, et oui, une tonne de pluie qui bouleverse des hectares de rizières amoindrissent la productivité, et le rapport d’inflation se redouble. »